"As before, the guitar sound is at the very top of what I've heard from Norwegian metal in recent months, and gets something absolutely fantastically coarse-grained by what is obviously a loud amplifier.
[...]
So, both the title song of this EP(?) and, for that matter, most of Vandrer's previous material, are exciting and powerful stuff. 'Pilgrim of the Pineal Light' goes into the discography of a project I can't wait to keep an eye on further because the project maintains a good, albeit somewhat single-track quality."
supported by 9 fans who also own “Pilgrim of the Pineal Light”
Comme Satan Worshipping Doom et Miserable, Terminal est un album qui vraiment toute son ampleur quand il est écouté d'une traite car il s'agit d'une lente agonie qui s'étend sur presque trois-quarts d'heure. Les sonorités psychédéliques propres à Bongripper sont absentes et le stoner/doom metal du quartette tend plutôt vers une sphère atmosphérique (certains arpèges de "Slow" ne sont pas éloignés de celles de Earth) voire funéraire et la mort finit par s'imposer comme la seule évidence possible. Jordan Vauvert
supported by 9 fans who also own “Pilgrim of the Pineal Light”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert